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la voie de l'Un personnel

25 mars 2018

Boucle n°3 Voir apparaitre une pensée La voir

Boucle n°3

Voir apparaitre une pensée

La voir émergée du néant

En produisant un petit « blop »

 

En suivant une courbe parfaite

La voir s’élevée silencieusement

Et s’immobilisée un instant

 

En suivant une courbe X Y

La voir entamée la descente

Sombrée silencieusement

 

Voir une pensée disparaitre

Lentement rejoindre le noir océan

En produisant un petit « blop »

 

Boucle n°2

Revenir ici

Atterrir en ailleurs

En poésie

Se retrouver dans le cœur

S’y maintenir

A l’unisson

Et en état d’apesanteur

Écouter

Cette petite chanson

 

Boucle N°1

Je n’ai pas peur de perdre

Ni l’esprit ni la santé

Je me souviens de cette pensée

Le mental est un outil

Il aide à se réaliser

J’aime créer des objets

Des formes et des idées

J’aime jouer

Tout oublier

Tout défaire

Et tout  recommencer

 

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21 mars 2018

Starwatcher Log

21 mars 2018

Vivre sans Tête

21 mars 2018

Fleuve Noir

21 mars 2018

Jimmy

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21 mars 2018

D'un point de vue étymologique, adolescence vient

D'un point de vue étymologique, adolescence vient du mot latin adolescere qui signifie grandir vers. Il s'agit donc d'un processus et non d'un état.
L'adolescence correspond à une période de changement identitaire intense en raison de toutes les transformations corporelles, cognitives, sexuelles et sociales.
L'adolescent devient à ce moment un acteur autonome. Selon les travaux d'Erikson(1982), les jeunes qui réussissent à se trouver, à se situer sur une trajectoire, dans un projet qui leur est propre, sortent vainqueurs du combat.
Ils sont dès lors munis d'un outil d'adaptation personnelle considérable : l’identité.

Avec l’adolescence donc (avec Jimmy) le rêve prend forme, l’amour de la lecture s’ouvre à moi. La connaissance prend racine !
Tu me donnes le goût du questionnement, de l’investigation : qui suis-je ? Quel est le chemin qui mène à la réalité, à la réalisation ? La vérité est-elle ailleurs ????
Tu me donne également le goût de la philosophie, de la sagesse du « je ne sais pas ! »
En passant par toi, par ta fenêtre, en traversant la peur du petit et du grand écran, par le petit et le grand bout de ta lorgnette, tu n’as de cesse de raconter ton histoire Jimmy.
Par ton scénario, par les auteurs du fleuve noir, par les twin-peaks, par Columbo et Tintin, par Zarathoustra, par Alain…En m’arrêtant boire un verre ou deux au Bar Javel, en pleurant sur Balzac, en admirant Hugo, en méditant avec Kun-Fu, en médisant avec Ziegler, en m’aventurant chez Blade-Runner, en sautant dans l’Enterprise, en écoutant king ou Spinoza, en courant avec David Vincent, en croyant Castaneda, en délirant avec Mulder et Scully, en loupant Sherlock, en m’endormant à Dark-City, en tournant la page, en zappant…la littérature rejoint la télé-fiction, la science, le feuilleton. Mon personnage est alors hanté, en quête « de »un retour vers le futur ?
« Je » cherche une ouverture, « je »mène une enquête, et au départ « je » est perdu, dans un vague sentiment de ça ne va pas… »Je »pense que quelque chose ne tourne pas rond (dans cette affaire)…cette histoire n’est pas ma tasse de thé, « je »ne cesse pourtant de te la raconté !!!
En participant au présent les histoires se mêlent aux anges Jimmy. Ton personnage de masque et de plume cache un rôle. Tu caches un drôle de jeu.
Mais la partie ne fait que commencer, merci Jimmy, merci à l’infini…

21 mars 2018

le chien fou

c'est jour d'équinoxe

mon bon maître

en ce premier jour de printemps

ne me tient plus en laisse

je suis un chien fou,

ivre de liberté

 

 

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